Roman « Pour les trois couleurs » par Fabien Clauw

Synopsis :
Mars 1798. La France révolutionnaire est en guerre contre les monarchies d’Europe. Parmi ses ennemis, l’Angleterre et sa puissante Marine sont le fer de lance de cette lutte sans merci qui s’éternise. Hélas, la jeune Marine républicaine se consume sur les cendres de la défunte Royale. La flotte est à court de crédits, souffre d’une corruption généralisée, et une grande partie de ses officiers, de noble lignée, a immigré. Engagé dans la Marine royale à l’âge de treize ans, le lieutenant Gilles Belmonte en a vingt-neuf lorsqu’il accède au grade très convoité de capitaine de frégate et se voit confier un nouveau bâtiment : l’Égalité. La mission dont le charge l’amiral Granger : faire escale à Madère où l’attend un mystérieux conseiller diplomatique naufragé dans des circonstances troubles au large de Porto Santo. L’Égalité doit conduire celui-ci auprès des autorités américaines. Son objectif : obtenir l’aide de ce pays neuf et redevable à la France de sa liberté. Au grand dam de Belmonte, la frégate embarque également l’épouse et la fille de Paul Desmaret, le nouveau gouverneur de la Martinique nommé six mois auparavant. Le caractère entier des deux femmes et leur beauté naturelle seront, pour le jeune capitaine, l’objet de bien des sollicitudes.

Mais le Renseignement britannique, redoutable d’efficacité, veille et les embûches parsèmeront la route de l’Égalité jusque de l’autre côté de l’Atlantique. Commander une frégate neuve servie par un équipage hétéroclite mettra à rude épreuve l’humanité et l’intelligence du jeune capitaine Belmonte. Entre machinations des services secrets, combats navals et amours naissants, son sens de l’honneur et son formidable instinct auront-ils raison d’un ennemi prêt à tout ?

Préface « Pour les trois couleurs »

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Ils en parlent :

Jean-Gilles MARCELO (directeur du pont de l’île de Ré)
J’ai eu le plaisir de lire le roman historique et maritime Pour les trois couleurs et n’ai qu’une hâte, celle de lire la suite des aventures du capitaine Gilles Belmonte.
Le roman est tout d’abord bien documenté historiquement. Faisant de la voile moi-même et connaissant les vieux gréements, je ne peux que féliciter l’auteur pour la crédibilité historique.
Par ailleurs, le style est enlevé et palpitant, l’intrigue haletante et surprenante, les scènes de navigation et de combat réalistes.
L’ambiance des navigations à cette époque est très bien restituée.
Cet ouvrage doit plaire à un large public, à n’en pas douter.
L’auteur est-il notre futur Alexander Kent ?
Pascal FAYE (chef d’entreprise)
Quand Gilles Belmonte est promu capitaine de l’Égalité, il n’a pas idée de l’aventure à laquelle il nous convie. Fabien Clauw parvient, en quelques pages, à recréer une atmosphère forte et authentique qui ne nous lâche plus tandis que l’on dévore son récit. Quand son capitaine est à la barre, l’on sent presque l’odeur des embruns. L’écriture est simple et précise, le rythme est parfois soutenu, mais sait prendre le temps de contempler l’océan comme les cœurs de son équipage. Les manœuvres et la vie à bord sont palpitantes, très bien documentées, même pour le néophyte. Il y a aussi beaucoup d’astuces, notamment dans sa manière de relater les scènes de différents points de vue, tout particulièrement dans la scène où l’Égalité affronte le Furious sous les yeux de George Davis, assurément le passage le plus enthousiasmant d’un premier roman dont on regrette simplement qu’il ne soit pas bien, bien plus long.
Hervé CAMPO (maître de conférences, Sciences Po Bordeaux)
Tout y est ! Une magnifique aventure subtilement saupoudrée d’espionnage et d’amour sur un fond historique fort bien documenté ! J’ai entendu le sifflement des boulets, ressenti le vent et les embruns sur mon visage et succombé pour la belle Camille. L’intrigue est fine, riche en rebondissements et le style fluide. Une semaine durant, je me suis langui de retrouver mes héros et de poser mon sac à bord de l’Égalité tard dans la nuit !
Je souhaite de tout cœur un vif succès à ce premier roman surprenant d’audaces et de maturité, et attends la suite des aventures de Gilles Belmonte avec l’impatience d’un jeune mousse !

Fanny Darrieussecq (Bordeaux Wine Campus)
Je ne connais rien aux choses de la mer et, pour tout dire, je n’étais pas particulièrement réceptive à cet univers. Et j’ai lu Pour les trois couleurs.
Quel choc !
Je me suis embarquée dans une passionnante aventure qui conjugue habilement tous les éléments propres à rendre ad dicte le néophyte. Cette histoire est tout bonnement captivante et émouvante. J’ai ouï-dire qu’une suite était en gestation… : j’embarque à nouveau !
Merci à l’auteur pour ce magnifique moment d’évasion et d’émotions. La suite, la suite ! »

Richard BAREAU-MAINSON (Société Générale)
Outre le fait que j’ai pris un grand plaisir au long de cette aventure, j’ai surtout hâte de lire la suite de ce magnifique ouvrage sur cette marine française pour la plupart en déroute après la Révolution.
Le descriptif est remarquable et j’avais l’impression d’être tantôt à quai, tantôt en mer au côté des héros tellement ils m’apparaissaient authentiques.
J’avais le vent, j’avais la mer, j’avais le bruit des canons, j’avais l’odeur de la poudre et du sang, et le goût de ce formidable café servi par cet aide de camp discret et tellement présent et précieux pour le capitaine. Page après page, j’ai aimé ce fil d’Ariane qui nous conduit tout au long de l’intrigue ; j’ai essayé d’inventer une suite, ma suite, mais…
Je laisse le soin à l’auteur de nous l’écrire, il le fait si bien !

Sylviane VICTORIA (Patrimoine historique, Ville de Bordeaux)
Inutile d’avoir le pied marin pour embarquer avec le capitaine Belmonte, même si l’on frémit aux récits de tempêtes dantesques, de batailles épiques. Mais le capitaine semble pris au piège de la séduisante Camille, n’en déplaise aux lectrices, dont je suis, qui attendront avec impatience la suite de leurs aventures. Saluons la remarquable reconstitution historique et maritime de cette époque, les descriptions fidèles des lieux évoqués comme des éléments techniques de ces navires.
Si l’auteur situe l’action à la toute fin du XVIIIe, son écriture en est résolument contemporaine, dynamique.
Une réussite incontestable pour le premier roman de Fabien Clauw.

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